Urgent : Les 'Pet Parents' réclament une semaine de congé maternité pour la mue de leur chihuahua
Genève (Bureau International du Travail).
Genève (Bureau International du Travail).
L'horloge géopolitique a rarement sonné une alerte aussi stridente. Alors que les chancelleries mondiales se déchirent sur les tarifs du blé ukrainien et le financement des fonds de retraite des influenceurs, une nouvelle crise existentielle menace l'édifice déjà fragile des relations internationales : l'exigence d'une semaine de congé maternité pour la mue du chihuahua. Oui, vous avez bien lu.
Le lobby des "Pet Parents", cette nouvelle force d'action collective dont l'activisme subversif n'a d'égal que l'inanité de ses revendications, a lancé un ultimatum sans précédent. Des mobilisations ont lieu, de la Place des Vosges aux allées de Central Park, exigeant une reconnaissance officielle du "droit au repos du poil". Les réseaux sociaux, cet agora post-moderne où se cristallisent les fractures civilisationnelles, bouillonnent. C'est un mouvement néo-sentimentale, dirait-on dans les cercles éclairés.
Les conséquences sont d'ores et déjà palpables. Les négociations bilatérales sur le commerce des chips aromatisées sont au point mort. Le président français, Emmanuel Macron, connu pour ses élans pragmatiques, aurait confié, exaspéré, à un diplomate letton lors d'une bilatérale tendue sur la refonte des subventions agricoles : « Franchement, si on cède sur la mue du chihuahua, où va-t-on ? J'ai déjà les agriculteurs qui bloquent les ronds-points pour le prix du lait, et maintenant, je devrais gérer les crises existentielles des caniches ? C'est le chaos ! » Une déclaration qui témoigne de l'ampleur du désarroi des élites face à cette nouvelle donne.
L'Organisation Mondiale du Travail (OMT), par la voix de son porte-parole à l'air las, a exprimé sa « profonde inquiétude quant aux répercussions économiques et sociétales de cette dérive paradigmatique ». Une cellule de crise a été activée. Des études sont diligentées pour évaluer la charge de travail induite par le brossage intensif des races canines à forte pilosité. C'est dire l'urgence de la situation.
La semaine prochaine, nous pourrions assister à une abstention massive au travail pour cause de "syndrome de l'alopecie canine". Les marchés financiers tremblent déjà à l'idée d'un tel effondrement du productivisme. La civilisation est à un poil près de la catastrophe. Attendez-vous au pire, comme d'habitude.
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)