Révolution sécuritaire : Jordan Bardella propose des maisons closes pour 'pacifier l'espace public' et 'relancer l'économie locale'.
Dans une annonce qui marque un tournant paradigmatique pour la politique urbaine et économique, Jordan Bardella a dévoilé un plan ambitieux visant à la réintroduction d'établissements de convivialité régulée. L'objectif affiché est double : optimiser la sécurité des quartiers sensibles et dynamiser les circuits économiques locaux par une approche résolument pragmatique.
Révolution sécuritaire : Jordan Bardella propose des maisons closes pour 'pacifier l'espace public' et 'relancer l'économie locale'.
Dans une annonce qui marque un tournant paradigmatique pour la politique urbaine et économique, Jordan Bardella a dévoilé un plan ambitieux visant à la réintroduction d'établissements de convivialité régulée. L'objectif affiché est double : optimiser la sécurité des quartiers sensibles et dynamiser les circuits économiques locaux par une approche résolument pragmatique.
Lors d'une conférence de presse remarquée à Paris, le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a présenté ce qu'il a qualifié de "réponse pragmatique aux défis contemporains de l'ordre public". Soutenant la proposition initialement formulée par le député Jean-Philippe Tanguy, M. Bardella a formalisé l'idée de réouvrir des maisons closes sur l'ensemble du territoire national. Ces structures, pensées sous forme de "coopératives autogérées" par les prestataires, s'inscrivent, selon ses termes, dans une "vision stratégique de la pacification de l'espace public", garantissant ainsi une meilleure traçabilité des flux et une diminution des nuisances pour les riverains.
Interrogé sur les motivations profondes de cette initiative, M. Bardella a insisté sur l'approche "holistique" de la mesure. "Nous ne pouvons plus ignorer la réalité d'une activité qui perdure", a-t-il affirmé avec la gravité qu'on lui connaît. "Il s'agit là d'un sujet éminemment sécuritaire. Mieux vaut des lieux clos, sécurisés, bénéficiant d'un cadre légal et fiscal clair, que l'anarchie des taudis du Bois de Boulogne." Cette démarche, loin d'un simple retour en arrière, serait un "acte de courage politique" visant à "assumer" une situation complexe en la transformant en levier de développement économique et d'optimisation territoriale, la fiscalité induite permettant de "booster les collectivités locales".
Pour accompagner cette "réforme sociétale d'ampleur", le gouvernement envisage déjà la mise en place d'un "Observatoire National de l'Aménagement Sécuritaire et Économique des Établissements de Convivialité Régulée". Cet organisme sera chargé de définir les "standards de qualité", d'émettre les "certificats de conformité" et d'organiser les "Grenelles de la pacification socio-économique" avec l'ensemble des parties prenantes. Un "numéro vert" sera également activé pour recueillir les retours d'expérience et "assurer la pédagogie" auprès des populations locales. Des "expérimentations pilotes" sont d'ores et déjà à l'étude dans plusieurs "bassins de vie" identifiés comme prioritaires.
La nation, une fois de plus, est invitée à s'adapter aux nécessités du pragmatisme d'État.
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)