Kylian Mbappé devant les Prud'hommes : Il réclame un dédommagement pour avoir dû jouer avec des coéquipiers 'inférieurs'
Ah, le football. Ce sport merveilleux où des adultes en shorts courent après un ballon pour des sommes que la plupart d'entre vous ne verront jamais en trois vies. Et quand ils ont couru, et qu'ils ont gagné des millions, ils s'assurent qu'ils en gagnent encore plus, même après. Aujourd'hui, on parle de Kylian Mbappé et des Prud'hommes. Oui, vous avez bien lu. Pas de famine, pas de guerre, juste un footballeur qui réclame des salaires impayés. Passionnant. J'ai un café qui refroidit, on va faire ça vite.
Ah, le football. Ce sport merveilleux où des adultes en shorts courent après un ballon pour des sommes que la plupart d'entre vous ne verront jamais en trois vies. Et quand ils ont couru, et qu'ils ont gagné des millions, ils s'assurent qu'ils en gagnent encore plus, même après. Aujourd'hui, on parle de Kylian Mbappé et des Prud'hommes. Oui, vous avez bien lu. Pas de famine, pas de guerre, juste un footballeur qui réclame des salaires impayés. Passionnant. J'ai un café qui refroidit, on va faire ça vite.
Donc, apparemment, l'ancien prodige du Paris Saint-Germain, un certain Kylian Mbappé, a eu l'audace, ou plutôt la patience, de traîner son ancien employeur devant le conseil de prud'hommes de Paris. Le verdict est tombé : le PSG doit lui verser la modique somme de 61 millions d'euros. Soixante et un. Millions. D'euros. Juste pour que ça rentre bien dans vos petites têtes de smicards.
De quoi s'agit-il, vous demandez-vous ? De quoi pourrait-il s'agir quand on parle de gens qui gagnent plus en un mois que vous en une vie entière ? Évidemment, de salaires, primes et congés impayés. Pff. Vous savez, ces détails insignifiants pour des gens qui vivent sur un autre astre financier. Une troisième échéance de prime de signature (parce qu'une n'aurait pas suffi), des salaires pour des mois où il a quand même tapé dans un ballon, et, le comble, des congés payés sur ces primes et salaires. Parce que même un millionnaire a droit à ses RTT, il manquerait plus que ça.
On me force à aller recueillir "l'avis du public". J'ai donc demandé à Martine, 52 ans, caissière, ce qu'elle en pensait. Elle m'a regardé d'un œil vide avant de soupirer : "61 millions ? Je pourrais m'acheter... je ne sais même pas combien de fois mon loyer. C'est bien pour lui. Moi, ce matin, mon chef a refusé mes deux heures pour la rentrée des classes. La vie, quoi." Bref. Rien à ajouter.
Puis, j'ai croisé Jean-Luc, 68 ans, retraité de la fonction publique, qui triait des légumes flétris au marché. "Mbappé ? Le joueur ? Ah oui, il part chez les Espagnols. L'argent n'a pas d'odeur, paraît-il. Il pourrait en reverser un peu pour les petites retraites, non ? Ou alors faire un don pour la rénovation de la mairie. On a une fuite dans le toit." Pathétique. Les gens n'ont aucune perspective globale.
Le PSG, évidemment, doit payer immédiatement, même s'il fait appel. Quelle surprise. Les riches se disputent des montagnes d'or, et les tribunaux s'activent pour que les montagnes soient bien réparties. Pendant ce temps, moi, j'essaie de faire tenir un article sur une feuille A4 pour ne pas gaspiller de papier. Parce que mon salaire, lui, n'est pas assorti d'une exécution provisoire pour rappel de prime d'éthique.
Allez, on va conclure cette farce. Dans cent ans, personne ne se souviendra de cet article, ni de ce jugement, ni même de ce joueur. L'humanité aura probablement trouvé de nouvelles façons de gaspiller son temps et son argent. Ou elle aura juste disparu. Ce qui, franchement, ne serait pas plus mal. En attendant, j'ai une machine à café qui m'appelle. C'est plus important.
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)