Révolution à l'Assemblée : Un texte de loi adopté sans 49.3, les députés s'évanouissent de surprise
Écoutez, je ne sais pas qui a eu la merveilleuse idée de me faire écrire sur ça, mais je vous jure, ma machine à café est vide et mon moral est au niveau de ma paie. Bref. Apparemment, un événement d'une trivialité cosmique a secoué l'Assemblée Nationale hier. Tenez-vous bien : un texte de loi, oui, vous avez bien lu, UN texte de loi, a été adopté sans que le gouvernement ne dégaine le fameux article 49.3. Un miracle, un alignement de planètes, ou simplement une erreur administrative, on ne sait pas trop. Mais le fait est là.
Écoutez, je ne sais pas qui a eu la merveilleuse idée de me faire écrire sur ça, mais je vous jure, ma machine à café est vide et mon moral est au niveau de ma paie. Bref. Apparemment, un événement d'une trivialité cosmique a secoué l'Assemblée Nationale hier. Tenez-vous bien : un texte de loi, oui, vous avez bien lu, UN texte de loi, a été adopté sans que le gouvernement ne dégaine le fameux article 49.3. Un miracle, un alignement de planètes, ou simplement une erreur administrative, on ne sait pas trop. Mais le fait est là.
Franchement, j'ai cru à une blague quand j'ai vu le compte-rendu. Le Premier Ministre, un certain François Bayrou (ou est-ce Sébastien Lecornu ? Franchement, ils changent tellement souvent que je ne suis plus très sûr, et de toute façon, ça ne change rien au fond du problème), qui d'habitude manie l'article 49.3 comme d'autres leur télécommande, a laissé une discussion aller à son terme. Une discussion ! Avec des votes ! On n'avait pas vu ça depuis l'invention du pain tranché.
Les députés, habitués à ce que leurs joutes oratoires se terminent invariablement par un "circulez, il n'y a rien à voir, le 49.3 est passé par là", ont accusé le coup. Des témoins affirment avoir vu des élus pâlir, d'autres se masser les tempes. Un huissier, sous couvert d'anonymat, m'a confié avoir ramassé pas moins de trois paires de lunettes tombées de nez choqués et même une perruque. L'horreur, je vous dis.
« J'ai cru à une panne de micro, ou alors que c'était le début d'une nouvelle émission de téléréalité », m'a avoué Chloé, 24 ans, étudiante en droit qui passait par là pour son stage obligatoire. « Quand j'ai compris qu'ils votaient vraiment, j'ai eu un vertige. C'est normal ? » Non, Chloé, ce n'est pas normal. C'est juste d'une tristesse infinie.
Un peu plus loin, j'ai tenté d'interroger Jean-Pierre, 67 ans, ex-professeur de philo à la retraite, qui fixait le plafond avec un air hagard. « Le 49.3, c'est comme la pluie, ça tombe. On s'y fait. Mais là... un vote ? Mais à quoi bon ? C'est le chaos ! » m'a-t-il lancé avant de murmurer que de son temps, "on parlait de choses sérieuses, comme l'existence de l'être ou le prix du pain". Ah, le bon vieux temps.
Bref, cette mini-péripétie a tout d'un non-événement élevé au rang de performance artistique absurde. Le gouvernement a survécu aux motions de censure habituelles, le budget passera bien évidemment, et dans deux jours, on aura oublié cette "révolution" pour revenir à la normale, c'est-à-dire l'éternelle valse des articles de la Constitution pour faire passer des textes qui ne passionnent personne. Allez, je vous laisse, j'ai un café froid qui m'attend. Et vous, si vous avez lu jusqu'ici, vous n'avez vraiment rien de mieux à faire de votre vie ?
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)