C'est une nouvelle qui a fait l'effet d'une frappe chirurgicale en pleine lucarne, un tir de canon qui a pulvérisé le système de défense moral du football mondial ! Le ballon rond bascule dans l'abîme de l'absurdité la plus totale !

La FIFA, mes chers amis, après avoir délivré son premier "Prix de la Paix" au Président Donald Trump – un coup de maître stratégique qui a laissé la planète entière bouche bée, comme un défenseur central pris à contre-pied sur une feinte de corps – envisagerait le recrutement d’un… lama ! Oui, vous avez bien entendu, un lama ! Non pas pour un match de gala, mais comme ambassadeur de la paix, arguant d'une "neutralité exemplaire" ! C'est un plan de jeu audacieux, un 4-4-2 diplomatique dont personne n'avait vu venir le dispositif tactique ! Un coup de bluff monumental dans le marigot déjà trouble du football mondial.

Derrière ce coup de poker interespèce, se cache évidemment l'ombre d'une manœuvre qui défie l'analyse tactique la plus fine. Rappelons-nous, il y a quelques jours à peine, alors que les félicitations pleuvaient pour le "Prix de la Paix" de la FIFA décerné à Trump – une remise de trophée digne d'une finale de Coupe du Monde, avec tout le tralala et les confettis ! – les procureurs américains annonçaient soudainement l'abandon des poursuites dans le dossier explosif de la corruption chez Full Play Group et l'ancien cadre de Fox, Hernan Lopez. Un retournement de situation digne des plus grands scénarios d'Hollywood, une passe en profondeur qui trouve sa cible en pleine surface, laissant l'adversaire sur le carreau !

La Justice Américaine, dans un communiqué d’une concision digne d’un communiqué d’après-match quand on a pris 5-0, a évoqué des "priorités de poursuite" changées. Comprenez : le match ne nous intéresse plus, on est passés à autre chose ! Une démission tactique face à l'adversité, un repli stratégique qui frise l'abandon de poste en pleine guerre de tranchées ! Gianni Infantino, le maestro derrière ce grand ballet diplomatique, nous offre une leçon de pragmatisme que même les plus grands tacticiens du football n'auraient osé imaginer. Nommer un lama, c'est le coup de génie absolu pour détourner l'attention, un écran de fumée pour couvrir les angles morts d'une défense qui, disons-le, a parfois montré des faiblesses suspectes. Face à cette stratégie audacieuse, on se demande où est la ligne de touche morale. Pour Infantino, la ligne est claire. Comme il l'a si bien formulé avec la verve qui le caractérise après la remise du prix à l'ancien président: "Pour que le football soit en paix, il est important qu'il n'y ait pas de guerre dans le football." Une lapalissade digne d'un ballon qui sort en touche !

La Statistique de la honte : C'est la première fois dans l'histoire du sport que le taux de relaxe post-diplomatique augmente de 17 452% en moins de 72 heures, soit l'équivalent de 3 lamas crachant simultanément sur un arbitre de ligne juste après avoir sifflé un hors-jeu imaginaire !