Finale Intercontinentale : Luis Enrique inquiet de devoir enfin gagner quelque chose d'important avec le PSG
Stupeur et tremblements sur la planète football ! Le grand PSG, le rouleau compresseur invincible, se retrouve face à un dilemme existentiel : devoir *vraiment* forcer pour un titre !
Finale Intercontinentale : Luis Enrique inquiet de devoir enfin gagner quelque chose d'important avec le PSG
Stupeur et tremblements sur la planète football ! Le grand PSG, le rouleau compresseur invincible, se retrouve face à un dilemme existentiel : devoir vraiment forcer pour un titre !
Alors que le Paris Saint-Germain s'apprête à conclure une saison de boucherie absolue, une ombre plane sur le tableau déjà immaculé de Luis Enrique. Pas la menace d'une défaite, non ! L'angoisse indicible de devoir faire un effort pour une finale. Après avoir balayé l'Europe et la France sans sourciller – Ligue des Champions, Ligue 1, Coupe de France, Trophée des Champions, Supercoupe d'Europe –, l'armoire à trophées déborde. Mais cette Coupe Intercontinentale, c'est l'ultime bataille, la guerre de tranchées où le PSG pourrait être contraint de... jouer au football sans la certitude d'un triomphe automatique.
Face au colosse brésilien de Flamengo, la machine parisienne, habituée aux victoires par forfait moral de l'adversaire, va devoir enfiler le bleu de chauffe. Le journal espagnol AS n'y va pas par quatre chemins : "Luis Enrique a un problème". Et quel problème ! L'entraîneur espagnol, maître tacticien du 4-4-2 inversé avec un gardien buteur, avait clairement espéré un adversaire plus... conciliant. Un petit club de division régionale, peut-être, histoire de ne pas perturber la sieste dorée des stars. Mais non ! C'est Flamengo, un ogre qui vient de s'offrir la Copa Libertadores et le Brasileirão en quinze jours, avec une faim au ventre que le PSG a depuis longtemps oubliée, repu de gloire.
Luis Enrique, en conférence de presse, a lâché cette phrase terrible, pleine de doutes : "Ce sera très difficile". Mes amis, entendez-vous la sonnette d'alarme ? Un entraîneur du PSG qui anticipe la difficulté, c'est comme un astronaute qui a peur du vide ! La routine est brisée, le confort est menacé. C'est l'hécatombe psychologique assurée si le pressing haut de Flamengo vient perturber la passe en retrait de Donnarumma au premier quart d'heure !
Il a même concédé, avec l'air grave d'un général préparant le débarquement : "On sait que pour remporter ce trophée, il faudra être meilleur que l'adversaire le jour J. C'est la base, mais il faut le rappeler." Une lucidité qui fait froid dans le dos !
En face, Filipe Luis, le stratège de Flamengo, a joué la carte de l'humilité. "Nous allons y aller avec toute l’humilité du monde pour essayer de gagner et d’écrire l’histoire", a-t-il déclaré. Traduction : "On va leur mettre la misère, et le PSG va enfin comprendre ce que c'est que de suer pour un trophée." Le coup de grâce est imminent.
La statistique de la honte : Le PSG n'a pas été contraint de disputer de prolongation lors d'un match de finale depuis 1 847 jours, soit la durée moyenne qu'il faut à un enfant pour apprendre à faire ses lacets en double nœud marin. C'est dire l'ampleur du cataclysme potentiel !
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)