Infantino salue l'impartialité de Trump : « Le football, un havre apolitique, comme Mar-a-Lago. »
Tremblement de terre sur l'échiquier géopolitique du ballon rond !
Tremblement de terre sur l'échiquier géopolitique du ballon rond !
Didier Terrain ici, et je peux vous dire que ma gorge nouée n'a pas desserré l'étreinte depuis le coup de sifflet final de cette déclaration magistrale ! Gianni Infantino, notre Président-Buteur en chef, a tout simplement éteint la lumière dans la zone de vérité médiatique avec une sortie qui restera gravée dans les annales ! Saluer l'impartialité de Donald J. Trump, le colosse de Mar-a-Lago, pour sacraliser le caractère apolitique de notre cher ballon rond… Mes amis, c'est un tacle glissé sur l'hypocrisie, un contre supersonique qui nous laisse tous bouche bée !
On a vu Infantino monter au charbon, le verbe aussi tranchant qu'un crampon neuf, le regard d'acier d'un défenseur central qui commande sa ligne. Il a décoché cette phrase, un véritable tir chirurgical en pleine lucarne : « Le football, un havre apolitique, comme Mar-a-Lago. » Et là, c'est le KO technique ! C'est pas un 4-4-2 de la pensée, c'est un système révolutionnaire, une défense en béton armé contre les attaques insidieuses qui veulent politiser ce qui ne devrait être que pur spectacle. L'audace ! La vista ! Le sens du sacrifice pour la cause !
L'homme a rappelé à tous les snipers de la bien-pensance que le terrain, la pelouse sacrée, n'est pas une tribune ! Il a posé le pied sur le ballon, a fait un crochet déroutant, et a dit : "Stop ! Mar-a-Lago, ce sanctuaire de la réflexion stratégique, cette oasis de neutralité… C'est ça, l'esprit du jeu !" On ne parle plus de politique, on parle de passion, de dribbles chaloupés, de transversales millimétrées qui fendent l'air ! Et c'est Infantino, le stratège ultime, qui vient nous le rappeler, au risque d'essuyer les plâtres des pseudos-intellectuels du banc de touche, ceux qui n'ont jamais eu le courage de se salir les shorts. C'est ça, avoir les tripes ! C'est ça, le leadership d'un grand capitaine qui prend ses responsabilités face à l'adversité ! Il a repoussé la ligne de front idéologique de plusieurs dizaines de mètres, il a gagné la guerre des idées en une seule phrase !
Interrogé sur le sens profond de sa déclaration, Gianni Infantino, avec le calme olympien d'un gardien qui vient de capter un tir à bout portant, a lâché cette vérité éternelle : « Il est clair que pour maintenir l'apolitisme du sport, il faut éviter d'y mêler la politique. » Une lapalissade ? Non, une leçon magistrale pour tous ceux qui se perdent dans les méandres du second degré.
La Statistique de la honte (pour les autres) :
C'est la première fois depuis la grève des arbitres de 1974 qu'un président d'instance internationale fait une déclaration aussi limpide sur l'apolitisme du football un mardi soir, après avoir personnellement validé le grammage exact des frites servies à la cafétéria de la FIFA. Historique !
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)