JO d'hiver 2030 : La France persiste et signe avec un modèle 'à bout de souffle' pour achever ses montagnes.
La stupeur est totale ! Le verdict est tombé comme un couperet sur les sommets enneigés… enfin, ce qu'il en reste !
La stupeur est totale ! Le verdict est tombé comme un couperet sur les sommets enneigés… enfin, ce qu'il en reste ! Hier soir, dans une conférence de presse digne d'une veillée funèbre, le Comité d'Organisation des JO (COJO) a officialisé sa feuille de route pour les Jeux d'Hiver 2030, et c'est une véritable boucherie tactique, une humiliation pour les puristes du bon sens !
Notre chère France, habituellement si prompte à l'innovation sur le plan sportif, a opté pour un modèle ultra-défensif, un 4-4-2 obsolète hérité directement des années 60, face à un adversaire redoutable : le réchauffement climatique. Un pressing haut et implacable de la crise écologique qui nous écrase, et nous, on répond par une stratégie de dégagement au-dessus ! C'est un contresens tactique monumental, une passe en retrait vers notre propre but quand il fallait lancer une contre-attaque fulgurante !
Les Alpes, notre capitaine emblématique, notre dernier rempart rocheux, est à bout de souffle ! On le voit, l'isotherme zéro degré qui tutoie les 5000 mètres, c'est comme un milieu de terrain qui lâche le marquage à la 92ème minute ! On nous parle de nouvelles infrastructures, de rénovations coûteuses pour des pistes de bobsleigh qui n'ont plus vu un flocon naturel depuis la préhistoire, c'est comme reconstruire un stade de curling en plein désert du Sahara ! Et l'enneigement artificiel ? Une rustine sur une jambe de bois, un tir au but tenté les yeux bandés alors que le vent tourne au déluge ! Les fédérations internationales, ces arbitres corrompus par le spectacle, imposent leurs règles absurdes, et nous, on s'exécute, tête basse !
"L'important, c'est de bien se préparer, de prendre les problèmes les uns après les autres, et surtout, de laisser les athlètes s'exprimer sur le terrain," a déclaré, le visage fermé, Gérald Montagne, le directeur technique national du COJO, dans une langue de bois d'une rare platitude. Traduction : on fonce dans le mur en espérant que le pare-chocs tienne. Mais la montagne, elle, ne connaît pas la langue de bois, elle connaît la fonte des glaciers et la raréfaction de l'eau !
Le pire, c'est ce déploiement géographique aberrant, ce système de quatre pôles éloignés comme des attaquants qui ne se parlent plus : la Savoie, la Haute-Savoie, le Briançonnais et la Côte d'Azur ! C'est une tactique de l'éparpillement, un jeu sans lien, synonyme de déplacements logistiques carbonés et d'une empreinte carbone équivalente à un aller-retour Paris-Rio en jet privé pour chaque compétiteur ! On nous dit qu'il faut réduire les mobilités, et nous, on organise une course de fond avec des camions sur les autoroutes ! C'est une faute professionnelle, un carton rouge direct pour la crédibilité de notre nation !
La Statistique de la Honte : Saviez-vous que 87% des ballons de football utilisés lors des JO 2030 seront fabriqués à partir de flocons de neige recyclés, fondus puis recongelés sous vide, un processus qui émet autant de CO2 qu'une petite ville européenne pendant un mois ? C'est la dure réalité, les amis !
Zone de retour à la réalité
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