Le Padel, nouveau critère d'embauche : les entreprises exigent désormais un revers lifté et 500 connexions premium.
Cataclysme sur le champ de bataille de l'emploi ! La guerre des CV a cédé la place à une boucherie sans nom sur les courts de Padel !
Cataclysme sur le champ de bataille de l'emploi ! La guerre des CV a cédé la place à une boucherie sans nom sur les courts de Padel !
Mes chers amis du gazon maudit, Didier Terrain vous parle ! Et je peux vous le dire, ce qui se passe actuellement dans les arcanes du recrutement, c'est une humiliation sans précédent pour notre chère nation du travail ! Fini le traditionnel entretien en face-à-face, la poignée de main molle et les questions bateau ! Non, monsieur, on entre dans l'ère de la sélection naturelle, celle où le Padel devient le tribunal suprême, le dernier rempart avant le CDI. C'est plus un entretien, c'est un duel à mort, une finale de Coupe du Monde pour un strapontin !
On nous dit que ce "sport LinkedIn" est le nouveau terrain de jeu des cadres. Mais attendez, "terrain de jeu" ? C'est une guerre totale, une stratégie de pressing haut où chaque point compte ! J'ai assisté, effaré, à une scène digne des plus grands drames shakespeariens. Un jeune talent, un diplômé de HEC avec un master en finance, s'est fait éjecter du processus de recrutement pour un poste de middle-manager, pas parce qu'il manquait de compétences, mais parce que son "bandeja" était "trop molle" ! Trop molle, vous entendez ? On a des jeunes qui sont prêts à se défoncer pour l'entreprise, et on les renvoie à la maison parce qu'ils n'ont pas le revers lifté de Novak Djokovic ! C'est une hérésie !
Je me souviens d'un certain Yann Guilcher, le grand manitou du réseau Rezo Padel, qui avait lâché à l'époque une vérité qui résonne encore : « Pour décrocher un poste, il faut montrer qu'on est capable de taper dans la balle, c'est ça qui fait la différence. » Une clairvoyance qui nous frappe aujourd'hui comme un smash dans les dents ! Ce n'est plus un mercato de joueurs, c'est un mercato de l'emploi ! On demande des "connexions premium", des "partenaires stratégiques de double", on est passé d'un 4-4-2 en entretien à un tie-break impitoyable au filet ! La moindre faute directe, le moindre smash raté, et c'est la relégation au chômage technique ! Il y a quelques mois, Rebecca Dumont, commerciale dans la filière vinicole, brillait sur les courts. Aujourd'hui, elle serait sans doute PDG d'un grand groupe, juste pour sa capacité à enchaîner les "volées de coup droit" décisives !
Et la statistique de la honte, la voilà : C'est la première fois dans l'histoire du recrutement moderne que 72% des candidats ont été éliminés dès le premier tour de la simulation de "match d'embauche" parce qu'ils ont osé porter des baskets qui n'étaient pas griffées par une marque officielle de raquettes ! Le scandale est total !
Zone de retour à la réalité
🤯 Vous n'avez pas compris la blague ? Lisez la réalité (c'est plus chiant).(Lien externe vers une source d'information garantie 100% sans humour)