Le Stade Toulousain sanctionné d'un apéritif dinatoire gratuit : la justice sportive plus clémente qu'une mère-grand

Tremblement de terre dans l'ovalie française ! Une onde de choc sidérante s'est abattue sur le Top 14, laissant un goût amer de capitulation et de compromission ! La Ligue Nationale de Rugby, ce colosse aux pieds d'argile, a rendu son verdict dans l'affaire Jaminet et le Stade Toulousain. Et quelle mascarade ! C'est une humiliation pour tous les puristes, une véritable boucherie des valeurs, un affront au fair-play qui devrait être gravé au fer rouge dans les annales des trahisons sportives !

On nous avait promis la guillotine, on a eu un baise-main. On nous parlait de "flux financiers détournés", de "montages juridiques alambiqués" pour un transfert, celui de Melvyn Jaminet, qui sentait la ruse comme un essai en solitaire après trois rebonds chanceux. Le grand Stade Toulousain, ce navire amiral du rugby hexagonal, accusé d'avoir joué au Monopoly avec les règles du salary cap ! On s'attendait à une rétrogradation directe en Fédérale 3, à une interdiction de mêlées fermées pendant trois saisons, à une pénalité qui cloue un club au pilori de la honte !

Et qu'obtiennent nos "champions" ? Un retrait de DEUX points fermes, DEUX points sur un championnat de 26 journées ! Autant dire un tie-break perdu en doublette, une passe en touche sur un dégagement anodin ! C'est comme donner une amende de 5 euros à un braqueur de banque ! Et une amende de 45 000 euros, dont un tiers avec sursis ! Pour un club qui brasse des millions, c'est le prix d'un café-croissant en terrasse pour l'ensemble du staff ! On parle de "comptabilisation erronée" ? Mais c'est une stratégie de guérilla comptable, un pressing haut sur les chiffres, une attaque en règle contre l'équité !

« Écoutez, l'important, c'est de prendre les matchs les uns après les autres, et de rester concentrés sur le terrain », a déclaré un Melvyn Jaminet, visiblement soulagé, après cette décision. Une vraie déclaration de philosophe, on n'en attendait pas moins d'un homme qui a vu son transfert devenir un cas d'école de la jurisprudence sportive ! La Section Paloise, elle, qui se retrouve par un fait du prince co-leader, doit se sentir comme un athlète qui gagne une médaille d'or parce que tous ses concurrents ont été suspendus pour dopage au Ricard ! Ce n'est pas une victoire, c'est une abdication de la justice ! C'est la LNR qui a fait un drop de pénalité en plein milieu de ses propres règles, signant ainsi sa propre déroute éthique !

La statistique de la honte : C'est la première fois, depuis la création du Top 14 en 2005, qu'une sanction pour fraude avérée est plus douce que le toucher d'un talonneur néo-zélandais au petit déjeuner, avec une probabilité de 87,3% que le café ait été servi sans sucre.